Qui a eu le privilège de rencontrer un dix cors à l’âge de 13 ans, seul au détour d’un chemin creux lorsque l’aube n’a pas encore évacué les profondeurs sombres des hautes sapinières de la forêt vosgienne, ne peut oublier le regard tranquille du cerf ni l’émotion pleine de sérénité de ce face à face. C’est cette même émotion dont fait état Jean Egen dans Les tilleuls de Lautenbach en racontant comment le Changala, lui aussi enfant, découvrit la forêt grâce à son oncle Fouchs. « Je vais te faire connaître ma bien-aimée » lui dit-il. Continuer la lecture
Les tilleuls de Lautenbach : bûche de Noël glacée au tilleul et à la liqueur de sapin.
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