A l’Elysée, on ne sert pas la langue que nous aimons.
Honte à eux.
Et nos respectueux hommages à Danielle Mitterrand
A l’Elysée, on ne sert pas la langue que nous aimons.
Honte à eux.
Et nos respectueux hommages à Danielle Mitterrand
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Entre temps, nous avons appris que François Hollande n’a guère fait mieux. La défense de la langue française n’est pas non plus sa tasse de thé. Et puis, tout cela, en particuliers grâce à Michel Apathie, est devenu une sorte de bonne grosse rigolade nationale : pas besoin de passer par l’ENA pour parler mal, regardez, moi aussi je sais le faire. Que nous importe finalement la qualité de notre expression.
C’est un crédo libéral qui nous manquait :
” tu ignoreras la grammaire et tu barbariseras le vocabulaire”.
On peut lire à ce propos Dany-Robert Dufour qui dans “La divin marché / la révolution culturelle libérale” consacre un chapitre à cette question .